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Défi Zen - 52 semaines / Parentalité et Allaitement

Etre Authentique pour rayonner sa Parentalité Bienveillante : Guide Complet pour Oser Etre Soi

Comment être authentique dans sa parentalité ? Plus le quotidien se remplit d’obligations et de responsabilités, plus nous enfilons de « masques » pour nous permettre d’y faire face, à l’image de ce qui a été décrit dans l’ouvrage de Lise Bourbeau « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même ». Il arrive alors que l’on se laisse porter par les vagues et que l’on perde pied dans notre quotidien de parent.

Nous, parents, enfilant des masques pour jouer constamment des rôles… C’est ce que nos enfants voient comme modèle !

Puis arrive le moment où nous remettons tout en question. Nous nous posons alors des questions de vie existentielles : mais que fais-je ici ? Suis-je au bon endroit ? Ce que je fais a-t-il du sens pour moi ? A-t-il du sens pour mes proches ? Est-ce que je souhaite réellement faire ce que je fais ?

Et ces questionnements se posent à l’égard de notre rapport à soi, de notre projet professionnel, de notre relation de couple et même de notre parentalité.

Et si l’on osait tenir debout devant la vague et montrer son véritable « soi » ?

Dans cet article, nous allons explorer la quête d’authenticité comme pilier de l’épanouissement personnel, mais aussi familial.

Soyons authentiques pour élever des enfants authentiques

Le développement de l’authenticité (et notamment émotionnelle) chez un enfant est un aspect crucial de son éducation et de son bien-être global. « Être soi » émerge comme un pilier essentiel pour élever des enfants épanouis.

Concrètement, comment fait-on pour encourager l’enfant à développer son authenticité ?

Voici mes 5 fondamentaux d’une éducation positive et bienveillante favorisant le développement de l’identité de l’enfant. 

1. Créer un environnement bienveillant propice à l’expression de soi

Créez un système familial où l’amour, la compréhension et le respect sont au cœur. Un foyer où la bienveillance règne permet aux enfants d’explorer leur individualité sans crainte d’être jugé.

L’enfant doit se sentir en sécurité pour exprimer ses pensées, émotions et ses opinions, sans redouter le jugement, le désaveu ou la désapprobation de ses parents.

C’est le socle sans lequel tous les autres piliers sont voués à l’échec, un peu à l’image d’une maison construite sans fondations.

2. Valider les émotions de l’enfant

Encouragez votre enfant à exprimer ses émotions en toute honnêteté, sans minimiser ni nier ce qu’il ressent. En validant ses émotions et ses ressentis, vous lui montrez que ses sentiments sont importants et légitimes. Ils ont leur place, au même titre que les vôtres. Vous avez le droit de vous sentir triste, joyeux, trahi, etc, et votre enfant aussi.

Votre enfant est une personne à part entière qu’il faut respecter dans son intégralité : votre enfant n’est pas une extension de vous-même.

De la même manière, il est une personne un peu particulière qu’il faut accompagner dans sa construction : il n’est pas un mini-adulte et n’a pas la maturité cérébrale pour se réguler seul.

Par ailleurs, valider les émotions de son enfant et valider également ses propres émotions (par exemple, en ne feignant pas que tout va bien alors que vous avez un air visiblement triste) lui permet de situer son positionnement et son comportement par rapport aux autres. Cela va avoir de très nombreux effets positifs, parmi lesquels :

–        Le développement de son autonomie émotionnelle et la gestion du stress

L’enfant apprend à comprendre ses propres sentiments et émotions, à les accueillir et à y réagir de manière appropriée. Plutôt que de refouler ou de cacher ses émotions et sentiments, l’enfant développe des mécanismes lui permettant de gérer des situations difficiles ou de stress de manière saine.

–        Le renforcement de son estime de soi

L’enfant dont les sentiments ont été validés apprend qu’il a le droit d’être soi-même, et de ne pas être simplement le reflet de soi-même dans les yeux des autres (« pour le moment, je ressens de la colère et j’ai le droit de ressentir cette émotion » VS « je n’ai pas le droit d’extérioriser ma colère parce que mon parent ne m’aimera plus / ne m’aimera plus autant / me punira » / etc.). L’enfant qui se sent autorisé à être authentique dans ses émotions, va apprendre à s’aimer soi-même et non pas seulement à aimer son reflet, il développer une estime de soi positive. Cela forme une base solide pour une confiance en soi saine à mesure qu’il grandit.

–        La capacité à construire des relations sincères

Être authentique apprend à l’enfant à exprimer ses besoins, à communiquer efficacement et à comprendre et interpréter les émotions des autres. Cela l’aide à construire des relations sincères avec les autres. Être authentique favorise la création de relations interpersonnelles positives.

–        La capacité à s’adapter face aux changements

L’enfant qui connaît la diversité de ses ressentis et qui les accepte est mieux équipé pour faire face aux périodes de changement et de transition. Il apprend à s’adapter aux situations nouvelles et développe tout au long de sa croissance cette capacité d’adaptation, précieuse à l’âge adulte.

–        La prise de décision éclairée

Lorsque l’enfant comprend ses propres émotions, il peut évaluer les situations de manière plus objective et prendre des décisions qui correspondent à ses valeurs et à ses véritables besoins.

–        La résolution constructive des conflits

L’enfant apprend à identifier les problèmes, à communiquer efficacement et à chercher des solutions plutôt que de réagir de manière impulsive ou passive.

En résumé, valider les émotions de l’enfant va développer son authenticité et son identité, contribuant à la construction d’une base solide pour sa santé mentale et émotionnelle. Ce comportement favorise une meilleure compréhension de soi-même et des autres, ainsi qu’une capacité à faire face aux défis de la vie avec résilience et intégrité.

3. Encourager l’exploration individuelle

Offrez à votre enfant des opportunités pour explorer ses centres d’intérêt, ses passions et sa créativité.

Laissez-le faire des choix pour tout ce qui n’est pas « vital » : si votre fille souhaite enfiler une jupe par-dessus sa une robe, des chaussettes dépareillées ou son pantalon à l’envers, ce ne sera certes, pas très harmonieux, mais est-ce important au final ? L’image que l’on renvoie aux autres est-elle plus importante que la liberté de choix et le développement de son propre style ?

Les opportunités d’explorer ses centres d’intérêts sont extrêmement variées : cela peut être dans les choix quotidiens, comme évoqué précédemment, ou cela peut passer par des activités artistiques, sportives, ou simplement du temps libre pour jouer et imaginer. L’autonomie dans ses choix encourage le développement d’une identité authentique.

4. Encourager la communication ouverte

En créant un espace où la communication est ouverte et encourageante, vous renforcez la confiance de l’enfant pour partager ses pensées. Posez des questions ouvertes sur ses expériences, ses pensées et ses sentiments. Écoutez attentivement ses réponses et répondez avec compréhension et empathie. Ne lui donnez pas nécessairement des réponses immédiates, mais amenez-le à les trouver par lui-même en développant sa capacité de réflexion.

Également, il est important de laisser à l’enfant l’opportunité de dire « non ». Éduquer un enfant pour qu’il soit obéissant, c’est éduquer quelqu’un qui, plus grand, aura beaucoup de mal à dire « non », même à des choses nuisibles. Permettre aux enfants de dire « non » à une situation qui les gêne, ou à laquelle ils ne veulent pas participer, les aidera à se protéger et à éviter de futurs abus. Comprendre et respecter leur refus nourrira leur esprit critique et leur donnera de la force et de l’amour-propre.

En mettant en œuvre ces principes, l’enfant comprend qu’il peut avoir des opinions et qu’elles sont prises en considération. Il développe une meilleure compréhension de lui-même et du monde qui l’entoure.

5. Modéliser l’authenticité

Et oui, à vous de travailler maintenant ! En tant que parents ou figure d’autorité, vous êtes un modèle naturel pour vos enfants. Soyez honnête au sujet de vos propres ressentis, partagez vos expériences et montrez que la diversité d’opinions et d’identités est non seulement acceptée mais également célébrée. Les enfants apprennent beaucoup par l’exemple.

En mettant activement en œuvre ces 5 fondamentaux d’une éducation positive et bienveillante, vous créez un cadre favorable au développement de l’authenticité de votre enfant.

Rappelez-vous que chaque enfant est unique, et le processus peut varier d’un individu à l’autre. L’essentiel est de cultiver un environnement d’amour et de compréhension qui permet à l’enfant de se sentir en sécurité pour être lui-même, tout simplement.

Mon expérience personnelle : comment j’ai réussi à me transformer en osant « être moi » via mon allaitement

Comme je l’ai déjà évoqué dans d’autres articles, le lien mère-enfant prend une dimension très puissante à travers l’allaitement. L’allaitement va bien au-delà de la simple nutrition. Il devient un acte profondément lié à la connexion émotionnelle entre la mère et l’enfant et contribue même à renforcer vos chakras. Cette expérience physique de l’allaitement crée une relation authentique, un échange d’amour, de complicité, de bienveillance et de réconfort.

Toutefois, l’allaitement est souvent entouré de jugements sociaux. Nombreuses sont les injonctions et pressions extérieures liées à ce sujet (vous pouvez aller voir mes articles sur les mythes et idées reçues concernant l’allaitement ici et ici). C’est particulièrement vrai lorsque l’on décide d’allaiter longtemps.

J’ai toujours pensé que l’allaitement et le maternage de manière générale (portage, etc) s’inscrivaient parfaitement dans une parentalité bienveillante et positive.

Néanmoins, force est de constater que l’œil de la société devient très critique à ces sujets à mesure que l’enfant grandit, et surtout lorsque l’on allaite un « grand bébé » dans un lieu public.

Alors, comment rester fidèle à soi-même malgré les regards désapprobateurs ?

Les caps à passer

Il existe plusieurs caps à partir desquels l’allaitement, et notamment en public, suscite la surprise, puis des regards interrogateurs de la part de la société, et enfin une franche désapprobation.

Nombreuses sont les mamans à se sentir gênées par les regards et les silences pesants à partir de la prise de poids (et de taille) rapide de leur bébé (généralement, à partir de 3 mois de vie). Le bébé ne ressemblant alors plus à un nouveau-né et cette période coïncidant pour beaucoup à leur reprise du travail, allaiter devient étrange. Les questionnements insistants se font alors nombreux : « Il a déjà bien profité, tu as le droit de te donner un peu de répit ! Et puis, comment tu vas faire à la reprise du travail ? Il faut le sevrer maintenant. »  

Lorsque Bébé commence à marcher, c’est un nouveau cap à passer. A ce stade de développement, allaiter un bambin qui marche et qui commence à parler devient quasi-incestueux dans le regard des gens. Aux yeux de la société, le sein perd sa qualité de nourricier et « redevient » un objet érotique. Pendant ce temps-là, le gros plan des fesses de Madame Aubade à l’arrêt de bus ne gêne personne… D’autant plus que l’OMS elle-même préconise d’allaiter au moins jusqu’aux deux ans de l’enfant, sans fixer de limite !

Lorsque l’enfant rentre à l’école, allaiter est très clairement désapprouvé par la société ; voyez le nombre de reportages à la télévision sur « ces femmes qui allaitent longtemps ». Le point de vue n’est pas objectif et l’angle sous lequel est traité le sujet reflète ce que la majorité des gens pensent, ce qui entretient davantage la désinformation à ce sujet.

Mes conseils et bonnes pratiques pour être authentique dans votre allaitement

Comment faire face à ces jugements extérieurs et rester authentique dans ses choix éducatifs et de santé pour ses enfants ?

Equilibrer les attentes extérieures et son souhait de poursuivre un allaitement prolongé peut être un véritable défi. Je vous propose quelques conseils pratiques que j’ai moi-même appliqués pour maintenir cet équilibre délicat :

1. Informez-vous et soyez confiante

Informez-vous sur les bienfaits de l’allaitement prolongé et soyez confiante dans votre choix. La connaissance approfondie de ce sujet renforce votre assurance, facilitant ainsi les discussions avec ceux qui peuvent remettre en question votre décision.

Pour ma part, j’ai remarqué que c’est principalement le manque d’informations (voire la désinformation) qui pousse les personnes à réagir défavorablement à la vue d’une tétée « tardive ». Pourtant, à 4 ans, un enfant a toujours besoin de lait, alors autant que ce soit celui créé pour lui ! 😉​ Cela ne nous viendrait jamais à l’esprit de téter un singe ou un ours pour nous désaltérer, pourquoi alors l’imposer à son enfant ? Au-delà de ces considérations plutôt amusantes, il y a énormément de bienfaits à faire perdurer votre allaitement, informez-vous et soyez confiante dans vos choix ! Chaque famille a un parcours différent. Votre confiance en vous sera le meilleur rempart contre les jugements extérieurs.

2. Éduquez votre entourage

Une fois cette première étape acquise, prenez le temps d’éduquer votre famille et vos amis sur les avantages de l’allaitement prolongé dans le cadre d’une parentalité bienveillante. Informez-les sur les aspects physiques, émotionnels et nutritionnels positifs pour l’enfant. Plus ils comprennent, moins ils seront enclins à porter des jugements hâtifs.

Personnellement, je l’ai vécu avec mes beaux-parents, mais également avec mes propres parents. J’ai eu droit à plusieurs reprises à des remarques directes du type : « Tu es enceinte, il faudra penser à sevrer la grande, il n’y aura plus assez de lait pour le bébé », mais aussi des remarques indirectes faites à ma fille directement : « Bientôt tu vas rentrer à l’école, tu n’as plus besoin de téter », « Tu as 4 ans maintenant, tu n’es plus un bébé pour téter » etc. Heureusement que ma fille est tout aussi têtue que moi et qu’elle n’a pas tenu compte de ces injonctions 😊 J’ai expliqué à ma famille en quoi le manque de lait était une idée reçue, je les ai informés des bienfaits et avantages de l’allaitement long et du co-allaitement, et aujourd’hui, ils reviennent même sur leurs propres propos et approuvent totalement notre modèle éducatif et familial !

3. Établissez des limites claires, respectez-les et faites-les respecter

Posez des limites claires sur les discussions que vous souhaitez avoir. Si vous ne souhaitez pas discuter de certains sujets avec certains individus, soyez prête à établir ces limites et à les respecter. Cela vous permet de maintenir une sphère privée autour de vos choix parentaux.

Dans mon cas, j’ai dû couper court à une conversation qui commençait à devenir gênante alors que j’allaitais dans une grande surface (et oui, parfois, on ne choisit pas… !). Répondre aux questions de « curieux », OUI, mais se faire agresser, NON ! En agissant ainsi, vous vous respectez vous-même en premier lieu.

Assumez vos choix et renvoyez les mauvaises énergies à leur propriétaire si celui-ci n’est pas en mesure de communiquer positivement. 😊

4. Entourez-vous

Créez un réseau de personnes qui soutiennent votre choix d’allaiter longtemps. Si vous n’avez pas de soutien parmi vos amis ou votre famille, sachez qu’il existe beaucoup de personnes bienveillantes dans les groupes dédiés sur les réseaux sociaux. Cela fait du bien de savoir que l’on n’est pas seule, même avec « de la bouteille » et un mental d’acier ! Avoir un réseau solide vous donne la confiance nécessaire pour affronter les jugements extérieurs.

5. Partagez votre expérience de façon positive

Lorsque vous discutez de votre choix d’allaiter longtemps, n’hésitez pas à partager votre expérience de manière positive. Mettez en avant les moments de connexion profonde avec votre enfant, les avantages que vous observez, et les aspects positifs pour la relation parent-enfant. Une perspective positive peut aider à désarmer les critiques.

Les tabous et non-dits tombent en engageant le dialogue de façon positive (et non sur le ton défensif), et si possible, en court-circuitant votre interlocuteur, c’est-à-dire en engageant le dialogue en premier. Bien souvent, votre interlocuteur n’aura même pas pensé à tout ce que vous pourrez mentionner et cela créera un lien de bienveillance.

6. Restez informée sur vos droits

Au-delà des normes sociales perçues, informez-vous sur vos droits légaux protégeant votre allaitement. Connaître vos droits vous donne une base solide pour répondre aux critiques, le cas échéant, et protège votre capacité à poursuivre l’allaitement dans le respect de votre authenticité parentale.

Défi Zen – Semaine 4

En suivant ces conseils pratiques, j’ai réussi à aborder le défi délicat de rester moi-même, alignée avec mes convictions, en jonglant délicatement avec les jugements extérieurs et mes souhaits concernant l’allaitement prolongé dans le cadre d’une parentalité bienveillante. La clé réside dans l’éducation, la confiance et la création d’un environnement de soutien autour de ses choix parentaux.

Aujourd’hui, j’allaite mes deux filles à la demande et en public.

Co-allaitement
Allaiter deux enfants
Allaiter en public

Pour soutenir toutes les mamans allaitantes et dans le cadre de mon Challenge – 52 semaines de parentalité positive, je vous partage une photo de moi allaitant mes deux filles !

Ici, je suis moi-même et je l’assume 😊

Ce qu’il faut retenir

En tressant les fils d’une parentalité bienveillante et authentique, on tisse une toile où chaque membre de la famille peut s’épanouir dans sa véritable essence. Élever des enfants authentiques demande du courage, de la résilience et la capacité de rester fidèle à soi-même malgré les défis. Ce parcours vers l’authenticité devient non seulement une quête personnelle, mais également une contribution précieuse à la création d’une société plus compréhensive et acceptante.

Pour aller plus loin, je vous propose de lire un excellent résumé du livre de M. B. ROSENBERG, intitulé « La communication non violente au quotidien », proposé sur le site d’OMAMAZEN. Cet article vous donnera de très bonnes pistes pour appliquer l’ensemble des préceptes évoqués ici.

D’ailleurs, ne vous étonnez pas de voir mon article ou un extrait de celui-ci sur le site d’OMAMAZEN également, car il participe à un évènement interblogueurs rassemblant des centaines de meilleures pratiques sur le thème « Oser être soi et briller dans son authenticité » !

Et vous, comment appliquez-vous votre authenticité au quotidien ? Quelles actions mettez-vous en place ?

Mettez-moi un mot doux pour me le dire ci-dessous ! 😉

Si vous avez aimé cet article ou si vous pensez qu'il pourra aider quelqu'un, vous êtes libre de le partager :)

Commentaires

à

Merci, merci, merci pour ce superbe article. Ca donnera du baume au coeur et du courage aux mamans allaitantes qui font face aux jugements et remarques déplacées. Pour ma part, mon bout de choux a 13 mois, je l’allaite, et je compte bien continuer au maximum. Ton partage d’expérience et tes conseils sont inspirants et confirment l’intérêt de rester soi-même et authentique, aussi bien pour soi-même que dans le cadre de l’éducation de nos enfants. Merci pour ta contribution.



    à

    Bonjour Jeanne !
    Merci pour ton retour qui fait chaud au coeur ! 🙏​
    Tu as tout mon soutien dans la poursuite de ton allaitement, ce sont des moments magiques et personne n’a le droit de nous interdire l’accès à notre bonheur le plus primaire : aimer les siens, les chérir et être aimé en retour.
    Pas forcément facile tous les jours mais gardons à l’esprit que nous formons une belle communauté d’âmes et que partout où nous allons, quelqu’un nous soutient dans nos choix parentaux, de santé et éducatifs 🥰



M-LINE
à

Bonjour
Bravo pour votre courage à propos de l’allaitement long… j’ai moi même allaité ma fille pendant 4 ans. C’est vrai que c’est difficile de s’affirmer à ce sujet et d’être authentique, j’étais toujours très discrète la dessus. Pourtant si on me pose très directement la question « combien de temps j’ai allaité ? », je dis la vérité car cela permet de faire savoir que cela existe ( et plus souvent qu’on ne le croit).
Très bon article sur l’authenticité et tellement vrai.



    à

    Bonjour !
    Merci beaucoup pour ce commentaire très chaleureux ! 🙏​
    Oui, il y a bien plus de mamans qui allaitent longtemps que ce qui est « visible ». Je milite pour qu’allaiter soit considéré comme un acte naturel, libérons les femmes de ce poids inutile, nous en avons déjà suffisamment sur le dos… Dans tous les sens du terme 😜​
    Et bravo à vous également de rester fidèle à vous-même et d’oser dire que vous avez allaité 4 ans, c’est magnifique ! Un très beau cadeau pour votre fille ainsi que pour toutes les personnes que vous aurez rencontrées sur ce chemin : parfois, on ne se doute pas de l’impact que nos actes peuvent avoir. Vous avez peut-être changé la vie de quelqu’un ! Merci ! 🤗​



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